Comme à chaque projet de développement, je pilotais la phase sureté de fonctionnement produit. Cette étape était traitée avec différents outils adaptés à la complexité des modifications (analyse fonctionnelle, AMDEC, arbre de défaillance, analyse de risque). Les schémas ci-après expliquent cette démarche pour un cas fictif. En parallèle, j'étais aussi contributeur de l'AMDEC process.
Il faut ensuite distinguer les systèmes innovants et les systèmes connus mais à risques.
Pour celà, il y a le schéma d'architecture simplifié pour identifier les zones d'études de SDF.
Ensuite, à chaque système étudié, il faut le décrire et le délimiter. C'est l'analyse fonctionnelle suivant la méthode APTE. C'est la description des fonctions pour chaque cycle de vie du produit.
La fonction principale met en relation 2 milieux extérieurs à minima et prendre la forme d'une action positive avec un verbe à l'infinitif.
La fonction contrainte ne met en relation qu'un seul milieu extérieur. Ci dessous la "pieuvre" générée.
Il faut y ajouter la définition et caractérisation des éléments du milieu extérieur
Intervient la caractérisation des fonctions avec critères de valeur et niveau de performance
Pour aller plus dans le détail, ci-dessous pour exemple, un schéma d'architecture de système
A la suite de la démarche (voir 1er schéma de l'article), il faut faire l'analyse préliminaire de risques fonctions à partir de l'analyse fonctionnelle. Ci-dessous un exemple avec fonctions défaillantes.
Il en découle le graphe des événements redoutés. Le score de 4 minimun sera étudé en AMDEC, ADD.
Le dernier point de la démarche est la recherche de causes. l'analyse préliminaire de risque et le schéma d'architecture permettent de construire l'arbre de défaillance ci-dessous
Pour faire l'AMDEC, il faut rajouter l'analyse fonctionnelle, à l'APR et le schéma d'architecture. En résulte une grille de cotation comme l'exemple ci-dessous et les plans d'actions associés.